"Soit, elle est longue à lire cette constitution, mais avant de prendre à la lettre les allégations de la fine fleurs (..) il convient de s'en imprégner."Que dois-je comprendre? Que tu t'en est "imprégné", toi, et que, du coup, tu crois être le seul ? C'est pas gentil ça ;o)) mais c'est tellement typique...
J'ai fournis pour commencer une source ou prendre connaissance des arguments de la campagne du Non de gauche pour nos amis américains ensuite j'ai donné les miens, à titre personnel dans un paragraphe dédié. Ils sont aussi ceux donnés par Laurent Fabius avec lequel pourtant je ne partage pas grand-chose et au moins j'ai le courage de la dire d'emblée. Je suppose par contraste que les tiens à toi d'arguments sont absolument inédits; puis-je me permettre dans ce cas de te suggèrer de prendre plus de part à la campagne nationale, tes alliés s'essouflent. A moins que ça ne te fasse mal de reconnaitre que tu les partages avec Nicolas Sarkosy, le baron Sellières et Alain Madelin (et oui, ça marche dans les deux sens, on ne choisi pas ceux qui vont voter comme nous malheureusement)...
Enfin, je remarque que ta contribution au débat que j'ai tenté par deux fois déjà de lancer ici, se résume, pour un "imprégné", en
une incantation et une invective, bouffie de suffisance, dans ce fil ci. Incantations/imprécations, rien d'autre, l'alpha et l'omega du Oui, c'est, là encore, tristement révélateur pour nos amis américains du niveau extrêmement faible atteint par la campagne du Oui... avec les résultats que l'ont sait jusqu'à présent... Chers amis, vous vous posiez des questions sur cette étrange campagne et sur les sondages donnant le Non gagnant et bien vous avez une part au moins des explications. Cela s'appelle la pédagogie par l'exemple. ;o)))